Tout a commencé en 1965 : en voici l’histoire. Dans les années soixante-dix, Internet n’existait pas encore et nous n’avions pas encore d’ordinateurs sur nos bureaux. Lors des premiers pas de la SFHTA, l’arsenal des médicaments modernes se résumait aux diurétiques. Que de chemin parcouru depuis la création de la SFHTA !

Les va-et-vient de l’histoire de l’hypertension artérielle, par Joël Ménard

Le débat sur les objectifs tensionnels montre bien que la définition de l’hypertension artérielle (mesure anormale, symptôme, maladie, facteur de risque cardiovasculaire…) varie selon que prédominent ou s’associent, à une époque donnée, progrès des connaissances, succès thérapeutiques ou enjeux de santé publique. Des modifications de paradigme qui ouvrent pour l’avenir plusieurs scénarios possibles, mais bien différents les uns des autres…
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Évolution des normes et des seuils de traitements

Seuils et cibles de pression  artérielle : Chiffres sous influences

Les millimètres de mercure ont toute l’apparence de l’objectivité scientifique. Vraiment ? Un regard historique montre que ce n’est pas exactement le cas. Vérité au-delà d’un seuil, erreur au-delà » aurait pu dire Pascal qui s’y connaissait en pression.

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Les pionniers français de l’hypertension

Dès la première mesure faite, en 1733, chez l’animal, Stephan Hales comprit qu’il n’était pas possible de décrire la pression artérielle (PA) par un seul chiffre, si bien qu’il se résolut à publier plusieurs tableaux pour en décrire les variations ; en l’occurrence les hauteurs du sang, exprimées en centimètres, dans un tube de verre relié à la carotide ou à la fémorale.

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Brève Histoire des Journées de l'Hypertension Artérielle (JHTA)

On peut admettre que les premières pierres de notre Société française d’hypertension artérielle (SFHTA) furent posées, en 1965, par les médecins et chercheurs du « Club international sur l’hypertension artérielle » qui tinrent leur première réunion, à Paris, les 5, 6 et 7 juillet, à l’hôpital Broussais — La Charité, rue Didot dans le 14e arrondissement de Paris. Là, trois jours durant, à l’initiative de Paul Milliez (1912-1994) « les plus éminents spécialistes » ont vécu trois jours de travail intensif et « sans publicité », précise Paul Milliez, qui avait su trouver « l’appui discret et généreux de grands laboratoires pharmaceutiques français et étrangers sans aucune contrepartie de notre part ».
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